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[DOSSIER] Compte-rendu de la Paris Games Week 2017 !

Écrit par Antephil & Twain le .

LE REPORT :

La Paris Games Week est le plus grand salon de France et le second d'Europe après la Gamescon. Nous nous y sommes déja rendus lors de l'édition 2017 pour vous apporter une vue d'ensemble de cette grande fête du jeu vidéo et des univers numériques.

La PGW se sépare en trois immenses halls du Parc des Expositions de la Porte de Versailles. L'entrée pour la presse se fait par le pavillon 2.2, un pavillon intéressant car divers dans ses activités et tourné aussi bien vers la constructions du futurs avec les stands de jeux Made In France à venir, les studios français et les écoles nationales de jeux vidéo et vers le passé avec de beaux stands de retro-gaming. Le principal est celui de MO5.com, une association de préservation et de partage de la culture vidéo-ludique qui écume salons, musées ou espaces publics pour donner à jouer et à se remémorer l'histoire des jeux-vidéos. L'association occupe ici une place centrale dans le pavillon avec des dizaines de jeux de consoles de tous âges accessibles, on peut citer l'intégralité de la saga Final Fantasy pour son 30ème anniversaire, jouable sur tous les supports initiaux de la NES à la PS4 ; Street Fighter est aussi jouable principalement Street Fighter II et sur toutes les consoles possibles (SNES, 3DO, PC Engine...), ajoutez à cela des jeux conviviaux comme Super Bomber Man ou Super Mario Kart et vous aurez une idée de ce stand orienté rétro et animé par des passionnés.

Le pavillon 2,2 a surtout une vocation culturelle et d'enseignements, en témoigne le stand de la BNF (Bibliothèque Nationale de France) qui avait sorti des trésors de ses collections (conformément au dépôt légal, la BNF possède au moins un exemplaire de tous les jeux et machines commercialisés sur le territoire) et proposait des PC pour consulter son catalogue. On retrouvait aussi une grande librairie, un stand pour l'éditeur Urban Comics qui présentait les nouveautés de sa gamme Urban Games (Street Fighter, The Witcher...) et des stands pour les écoles de formation au métier de l'image et du jeu (3iS, Epitech, Créajeux, George Mélies etc.).

C'est donc un hall où l'on flâne et se renseigne , contenant aussi le Paris Games Week Junior et des dizaines de bornes faisant tourner des jeux orientés jeune public. On peut aussi faire un crochet sur le site de Focus Home Interactive, éditeur parisien dont on attend avec ferveur Vampyr et Call of Cthulu mais dont nous n'aurons que des visuels et ne pourrons pas essayer ces jeux ambiance horrifiques attendus pour 2018.

Nous passons rapidement par le Pavillon 3 réservé au pro gamer et à l'E-Sport pour nous diriger vers le gigantesque Pavillon 1, véritable noyau dur de la PGW 2017 avec la présence de tous les constructeurs, éditeurs et jeux. Une véritable claque vu du dessus avec des dizaines de stands décorés, des bornes par centaines et une affluence record !

Évidemment les trois principaux acteurs du jeu vidéo console sont présents : Sony, Microsoft et Nintendo présentes des stands écrasants. Chacun vient à la PGW pour affirmer sa bonne santé. Sony a présenté son line-up 2018 quelques jours plus tôt à la Défense, Microsoft donne à jouer à la XBox One X pour la première fois au grand public et Nintendo sort Super Mario Odyssey qui est son grand titre des mois à venir. On ressent la position de force de Sony sur le marché avec un stand démentiel, immense, proposant aussi bien des jeux à venir que des expériences de VR (réalité virtuelle). Niveau jeux on retiendra Star Wars : Battlefront II, Gran Turismo Sport, Detroit, Destiny II, Shadow of the Colossus...Un vrai effort de mise en scène pour un stand incontournable siégeant en plein milieu du salon. On regrette simplement de ne pas avoir pu nous essayer à l'expérience VR Stranger Things (oui on est fans!). Proche de ce stand à la démesure d'un roi, Microsoft annonce aussi la couleur avec un stand plus petit mais qui présente sont nouveau modèle de X-Box, console la plus puissante du marché ! Un stand orienté core-gamers là où Sony vise plus le grand public.

Nintendo est toujours un peu à part même si le géant japonais fait une année étonnante avec sa Switch et le retour des jeux en béton armés soit Zelda : Breath of the Wild et Mario Odyssey, présentés sur le salon. Le stand est grand mais moins tape à l'oeil que ses concurrents, misant tout sur le savoir-faire du constructeur en matière de jeux au gameplay parfait. Une partie du stand est dédié aux jeux indés dont Nintendo se veut désormais un gros hébergeur, une autre à la bombe rétro Super Nintendo Mini et éloigné totalement du stand dans un petit baraquement on retrouve une présentation des jeux « matures » des éditeurs tiers à savoir Skyrim et Doom. Toujours bien de voir que cet éditeur familial par excellence s'ouvre à un nouveau public mais étrange de voir comme ces jeux présentés en marge du foyer principal, presque clandestinement.

Côté éditeurs, le stand le plus imposant doit être celui d'Ubisoft, pas avare de nouveautés cette année avec The Crew 2, Far Cry 5, South Park L'Annale Du Destin et un Assassin's Creed très attendu. Le niveau des jeux est bon, avec une bonne impression sur Assassin's Creed Origins mêlant base RPG et nouveau décor pharaonique pour une aventure enfin recentrée sur l'essentiel et une technique solide. Au rang des jeux très attendu de Microsoft, celui-ci présentait en avant-première la version Xbox One du très attendu Player’s Unknownk Battelegrounds (PUBG pour les intimés) qui a su attirer les foules tout au long de l'évènement.

Koch Media, diffuseur de jeux n'était pas en reste avec un grand stand présentant des nouveautés surtout japonaises : Sonic Forces, Yakuza 6, Attack Of The Titans 2. On a particulièrement aimé le décor Kabukicho pour la démo du toujours enthousiasmant Yakuza 6 !

Directement en face de Koch Media, on trouve Square Enix dans une année un peu pauvre, misant tout ou presque sur Final Fantasy Dissidia NT, un jeu de baston à 3 contre 3 dans l'univers Final Fantasy. Un titre très japonais dans l'esprit, se tournant plus vers une niche de joueurs attirés par les produits de l'Archipel. Jouxtant ce titre on retrouvait les déclinaisons de FFVX qui carburera encore en 2018, l'immanquable FFXIV qui tourne dans les salons du monde entier et a son public bien installé et quelques petits jeux un peu en retrait comme Lost Sphear à l'orientation rétro plaisante mais pas vraiment convaincant à l'heure des nouveaux RPG monumentaux. Comme un décalage...

Côté nippon, deux autres poids lourds se faisaient face Dragon Ball Fighter Z, l'hallucinant et très plébiscité jeu d'Arc System distribué par Namco Bandai et Monster Hunter World qui de par son ambition peut enfin implanter la saga durablement en Occident.

Beaucoup de fréquentation, un salon englobant technologie, jeux, patrimoine, la Paris Games Week s'agrandit toujours un peu plus et vise avec justesse aussi bien le core-gamer que le grand public. Un événement mené tambour battant où la plupart des acteurs du marché joue le jeu et nous font plaisir ! Une excellente expérience que nous serons heureux de renouveler en 2018 !

LES JEUX QUE NOUS AVONS TESTE :

Doom

Swtich

Commençons par une des plus grosses attentes de l’année 2017 pour les jeux sur lesquels nous avons pu poser paluches, avec non pas une nouveauté, mais l’un des portages dont la Nintendo Switch vient tout juste de se doter, fuckin Doom. Depuis la Super Nintendo, en passant par la Nintendo 64 (et sa version exclusive) puis ensuite pour se retrouver sur portable , les consoles de la firme Nipponne ont accueilli parmi leurs titres leur versions du jeu culte d’ID Software (repris depuis par Bethesda Software) et c’est donc avec le reboot de 2016 que le carnage démoniaque fait son grand retour sur la machine family friendly.

Le bilan restera quelque peu mitigé, non pas que Doom ait perdu de sa superbe avec sa conversion venue de consoles plus puissantes, mais les quelques limitations dues à la Switch et notions de gameplay, qui n’ont pas été du tout pensées pour la nouvelle console de Nintendo. L’avis de Doom s’est fait en format nomade, même si donc les limitations telles qu’un framerate tournant à 30FPS et un léger voile qui a pu se faire sentir sur l’image permettent de profiter du jeu dans d’excellentes conditions. Jouer à Doom sur Switch, c’est donc un gameplay qui n’est pas des plus adaptés aux boutons et gâchettes de la console. L’action frénétique, les fatalités et changement d’armes, se font de façon bien moins fluide que sur ses consœurs (sans parler de la version PC) et pourront fatiguer certains joueurs. Le format de l’écran nomade se veut lui plus adapté pour jouer en mode arcade ou multijoueur, mais l’expérience n’en sera que meilleure sur une grande TV HD, si l’on fait donc fi des 30 FPS.

Doom version Switch est donc un bon portage malgré ses défauts, mais que l’on ne conseillera en priorité qu’aux joueurs ne possédant pas d’autres consoles pour défourailler dans des conditions optimales. Il permettra également de faire découvrir l’une des meilleures franchises du jeu-vidéo à une frange plus family, mais n’attirera pas sous son giron les hardcore gamers. A noter que le jeu est disponible sur la Switch avec l’intégralité de ses DLC.

Skyrim

Switch

Second portage très attendu pour la Switch, avec le carton de Bethesda Software, et là ou Doom du même éditeur pâti quelque peu du passage sur le pad de la console, Skyrim se veut lui être avantagé par sa date de sortie, datant de 2011 et permettant de s’adapter plus facilement à la console, là aussi aidé par son gameplay. Les fans exclusifs de Nintendo et les joueurs ayants déjà parcourus les terres de Skyrim se doivent de posséder ce portage. Les premiers pourront enfin découvrir l’univers d’Elder Scrolls sur la console et les seconds pourront eux mener leurs quêtes dans les transports en commun ou lors de déplacements.

Concernant l’aspect technique de "Skyrim Switch", il aurait été impensable de retrouver la version boostée sortie sur les consoles new gen, c’est donc bien évidement la toute premiere version du jeu, dont le passage en format nomade et 720p qui quelque peu amoindri l’aspect graphique, avec des décors un brin moins détaillée que l’original. Pour l’érgonomie au pad de la Switch, celle-ci est complétement adaptée, l'aller-venu entre les menus et l’aventure se fait sans heurt et la prise en main est impeccable.

Impossible donc de ne pas recommander "Skyrim Switch" aux néophytes et fans de la saga, et il y a fort à parier que les premiers auront envie par la suite de découvrir les opus antérieur, Morrowind et Oblivion, sur la console de Nintendo, chose que l’on aimerait sérieusement voir se concrétiser.

 The Crew 2

PC

The Crew premier du nom n’aura pas effectué un gros buzz lors de sa sortie, ni déchaîné les foules, écrasé par les mastodontes du genre (Forza, Grand Turismo, Project Cars), faute à un contenu assez classique et dont on aura rapidement bouclé le scénario et les épreuves de factions, malgré une map absolument gigantesque.

Les 10 minutes proposées en premier contact de The Crew 2 auront proposé un apercu assez limité du nouveau contenu, méttant l’accent sur les courses en voitures, et les deux nouveautés que sont le bateau et l’avion (la moto ne figurant donc pas dans cette démo). Pour la conduite automobile, la physique a enfin été grandement corrigée, fini le véhicule qui se retourne pour un rien ou part vriller dans les airs, collant enfin à la route de manière réaliste. La conduite aéronautique ellle se fait également dans les meilleures conditions possibles pour une course aux abords de New York qui saura séduire les fans de véhicules nautiques, mais le bât blesse très largement sur la conduite aérienne, le pilotage de l’avion souffrant d’une maniabilité très approximative, notamment pour une amplitude de braquage bien trop importante et réduisant bien trop les chances de passer entre les checkpoints. Les avis de la presse en général étant unanimes sur la prise en main des courses en avions, ne laissent plus aucun doute sur l’inutilité de ces dernières, dont ont ne tiendrait rigueur a Ubisoft de les supprimer lors de la sortie en Mars 2018. Il est à noter qu’à la différence de The Crew, The Crew 2 abandonne les spécialités dédiées à certains types de véhicules, tous les bolides terrestres étant déjà adaptés de base pour les modes street, dirt, circuit, monster, drift, ayant pour effet de supprimer bon nombre de modifications.

Graphiquement The Crew 2 offre un upgrade appréciable, loin de l’aspect old gen de l’épisode précédent mais dont on regrettera de ne pas avoir pu juger plus du niveau de détails sur d’autres environnements. Les inconnus restant sont maintenant de connaitre le scénario de The Crew 2 , les ajouts sur une map déjà énorme et si la police sera déja présente au lancement du jeu. On attend donc qu’Ubisoft donne de nouvelles informations sur le nouveau volet de sa franchise pour se faire un véritable avis sur The Crew 2, mais les fans de liberté quasi-totale en matière de conduite sont déjà impatients de découvrir la version définitive au printemps prochain.

Far Cry 5

PS4 Pro

Pour grand nombre de fans de la franchise, Far Cry 4 ne fut pas le grand jeu attendu, se reposant beaucoup trop sur les acquis de Far Cry 3 et souffrant d’un moteur de jeu vieillissant, faisant plus office de mise à jour que d’un réel nouveau jeu et d'une amélioration de gameplay.

Far Cry 5 ne changera pas la donne sur un système de jeu bien huilé, mais offre enfin un écrin et des apports notables permettant d’aborder le nouvel opus avec un brin de nouveauté. Pour ces apports de gameplay, Far Cry 5 offre cette fois-ci au joueur d’incarner plusieurs personnages, dont Nick Rye le pilote d’avion et la tireuse d’élite Grace Armstrong, sans oublier le gentil boomer, canidé qui vous portera soutient en allant chercher les armes éloignées et de guetter sur des ennemies qui sont à proximité. Les séquences de combat aérien en compagnie de Rye offrent de très bon contrôle pour le pilotage de l’avion , mais l’on déconseille de jouer trop avec la caméra intérieure, bien trop sensible et pouvant faire perdre le fil de l’action. La conduite des véhicules terrestres est heureusement bien supérieure aux opus précédents, bien plus respectueuse de la physique pour Far Cry 5. Ce nouveau Far Cry ne change point la donne non plus quant à son environnement, la nature se veut toujours aussi prédominante avec la région du Montana, magnifiée par un moteur graphique qui rend enfin justice a l’univers de Far Cry.

Far Cry 5 reste donc un des grands jeux à venir de 2018 et les fans de la saga pourront se ruer sur la création d’Ubisoft en Février prochain pour délivrer New Hope de la secte d’Eden’s Gate dans une ambiance Redneck.

 Need For Speed Payback

PC

Le précédent Need For Speed n’avait pas convaincu les habitués de la série, Need For Speed Payback se doit donc de faire revenir la série dans son format phare, mêlant course poursuite et adrénaline dans des environnement variés (exit donc la nuit unique de Need For Speed). L’inspiration cinéma Fast And Furious sera la nouveauté de Need For Speed Payback. La première partie de la démo nous lançant à la poursuite d’un poids lourd, contenant un véhicule de luxe, pour ensuite prendre le contrôle de ce dernier et pendre la fuite à son volant. L’on aurait associé le patronyme Fast and Furious au jeu d’EA sans que cela ne dénote aucunement.

Même si le fin a prévalu durant ces quelques minutes, le retour de la conduite que l’on a pu connaitre sur Need For Speed The Run aura eu tendance à rendre cette dernière un peu lourde, accentué par les ralentits beaucoup trop cinématographique, brisant la fluidité du pilotage. L’impression de vitesse quant à elle n’aura pas été des plus ébouriffantes, loin de ce qu’a pu offrir Need For Speed Rivals ou Need For Speed Hot Poursuit.

Need For Speed Payback étant déjà sortie depuis la parution de ce compte-rendu et l’avis mitigé de la presse spécialisée, les impressions confirmeraient donc que la direction prise sur ce nouveau Need For Speed, offre de nouveau une sortie de route et qu’un titrage Need For Fun serait plus adéquat.

Dead Cells

PC

Petite surprise indé développée par les Français de Motiontwin, toujours en cours de réalisation et disponible en early access sur Steam, Dead Cells est un Metroidvania  (aventure, plateforme ) coloré dont les textes affichait d’ores et déjà un de l’humour a une aventure dont le scénario n’est pour le moment pas finalisé.

Coloré, agrémenté d’effets gores et d’une difficulté assez élevé lors d’un des multiples essais du jeu, Dead Cells se doit d’être guetté par les fans du genre, le plaisir de faire évoluer le héros dans les dédales de rempart pour à l’aide d’attaque arme à la main ou aidé de magie

Dead Cells est prévu pour sortir également sur Xbox One, PS4 et Nintendo Switch dont on espère pourvoir un plus ample aperçu lors de sa disponibilité complète.

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