Официален блог на WebEKM EKM очаквайте сайта онлайн скоро.

Download Free Templates http://bigtheme.net/ free full Wordpress, Joomla, Mgento - premium themes.

La scène Grecque bien que petite et encore peu reconnue présente de véritables maîtres dans le domaine du Metal. Sans parler du nouveau guitariste prodige Gus G actuellement en poste avec Ozzy, les autres groupes qui percent à l’international ne se sont certainement pas mis à pomper ou vendre leur corps à qui voudra pour réussir. Rotting Christ et les plus jeunes Septic Flesh en sont la preuve : le Death Metal (R.C c'est du Black ... ndrc) grec casse la baraque et est une source de nouveauté et d’originalité impressionnante dans cet océan de Melodeath scandinave.  

L’album présente une ambiance malsaine et aussi quelque chose de grandiloquent. On imaginera bien Septic Flesh en train de faire un concert privé pour Sauron, Darth Sidious, Voldemort et Hannibal Lecter avec cet album comme setlist. 

La première écoute m’avait laissé rêveur et peu concentré sur la musique car la musique me faisait imaginer de grandes batailles moyen-ageuses, remplies de monstres bizarres et autres cadavres ambulants, genre The Lord Of The Rings.

La singularité de la composition se présente là où la guitare et la basse ne sont pas forcément la base de la mélodique et son utilisée avec parcimonie, pour souligner le caractère de certains passages ou les rendre plus brutaux. Ce choix stylistique et à mon sens une force majeure du groupe qui se joue des règles du Metal et compose dans un style qu’ils inventent au fur et à mesure de chaque album.  

Contraste intéressant et maîtrisé le chant plutôt Death alterne avec une voix plus posée, narratrice qui permet d’adoucir certains passages de l’album. Une autre forme de chant s’insère sous la forme de chorales en arrière-plan de la musique.  

Si l’orchestre et les chœurs forment la plus grande partie de la mélodique, l’album ne tombe pas dans le piège du « Metal Symphonique » à la Epica ou Nightwish. Le style me ferait plutôt penser à de la musique tribale au niveau des rythmiques, à des BO de films de Fantasy / Medieval pour les mélodiques et à de la musique classique pour l’union du tout autour du Death Metal.

L’album commence très fort avec "The Vampire From Nazareth" puis "A Great Mass Of Death" puis Pyramid God" (dont la melodie fait enormément penser a la b.o de "Requiem For A Dream" ndrc). 

Si le reste de l’album n’a  pas exactement la même puissance que ces trois premiers morceaux phénoménaux, tout est bon et destine à garder concentrée la pression et la tension accumulée par le début explosif et morbide. "Mad Architect" sur la fin porte bien son nom et créé une atmosphère labyrinthique et de folie.

L’album se clôt sur une quasi-ballade "Therianthropy", quasi parce que s’il y a des moments beaucoup plus softs que le reste de l’album, ils sont rapidement suivis par des passages plus brutaux où on peut capter une petite inspiration Speed Metal / Power.  

En bref, un bel album qui ne devrait pas accumuler la poussière au fond de l’étagère. Le tout est rafraîchissant et sombre à la fois (ce qui est rare dans ce milieu, il faut l’avouer)

Onlain bookmaker bet365.com - the best bokie

Commentaires