Официален блог на WebEKM EKM очаквайте сайта онлайн скоро.

Download Free Templates http://bigtheme.net/ free full Wordpress, Joomla, Mgento - premium themes.

Scar Symmetry - The Singularity (Phase I - Neohumanity)

Écrit par L'Escargot le .

Depuis 2008 et le départ de Christian Älvestam, de nombreux fans de Scar Symmetry se retrouvent partagés entre ceux qui aiment la nouvelle formule à deux chanteurs, et les autres. 2013 marque un autre gros tournant dans la vie du sextet (qui est maintenant un quintet) suédois. En effet, le guitariste et fondateur du groupe Jonas Kjellgren quitte le groupe pour se consacrer à ses deux autres projets musicaux et à son travail en studio. Après deux albums bons, mais pas excellents par rapport aux premiers opus, c'est tout naturellement que l'ex-sextet nous pond sa sixième galette en 2014, juste pour dire “qu'on peut le faire sans un deuxième guitariste”.

"The Shape of Things to Come", morceau de 53 secondes qui sert d'intro nous embarque: Sur un fond (très) légèrement industriels, le chanteur clair Lars Palmqvist nous place rapidement en contexte: LA TRANSHUMANITÉ. Et dans une montée épique digne des plus grands Rhapsody Of Fire, on se retrouve très vite dans le vif du sujet: "Neohuman". Le morceau se sert de l'élan donné par la première chanson et nous lance dans l'histoire via un riff de guitare technique puis une rythmique bien martelée qui nous rappelle que Scar Symmetry sait faire et du prog, et du death.

Et même si on tire un peu la grimace en entendant le refrain qui frôle le niais avec des backings vocals qui sonnent presque boys-band, on apprécie l'instrumental travaillé, les mélodies qui sonnent industrielles et nous embarquent dans un univers cyber-punk qui tiendra tout l'album.
Puis vient le premier single de d'album, "Limits to Infinity", on a beau avoir un côté bien entraînant sur les couplets, le kitch des refrains détruit le peu d'estime qu'on pouvait avoir pour la chanson... Paradoxalement, c'est également un des morceaux où Roberth Karlsson (chant growl) se lâche le plus, jouant entre les aigus biens placés et un growl basique, mais efficace. Je vous laisse écouter le résultat dans la vidéo postée ci-dessous. Le second single tiré de l'album est "Cryotic Harvest", celui-ci est certes un peu plus sombre, un son prog plus à propos, et une excellente distribution des voix entre les deux chanteurs. Mais les refrains restent très “pop metal”.



Pour un single c'est « normal » me direz vous? Mais quand c'est la même chose sur tous l'album, c'est trop... Alors certes ça s'écoute, on souffre un peu sur les refrains, mais les couplets, breaks et solos sont en général bien exécutés et on prend notre mal en patience sur les doux moments emo-core qu'ils nous offrent, quitte à fredonner les refrains pendant toute la fin de la semaine. On pense avoir vite fait le tour de l'album en se disant que toutes les chansons sont les mêmes, un subtil mélange de metal prog bien foutu quoique parfois trop masturbatoire et de pop metal kitch. Et même si on a tiré un sourire sur le morceau instrumental "Children of the Integrated Circuits", et son ambiance un peu arabisante, on se lasse assez vite de ce mélange. Mais alors que l'espoir d'un bon morceau a disparu, on fini l'album sur "Technocalyptic Cybergeddon. Ce morceau de 10 minutes nous rappelle le sublissime "Holographic Universe", et on a une belle vision de l'étendue du talent de Scar Symmetry.

Le morceau démarre sur un petit air gentil qui va très vite se muer en un riff technique et violent. Roberth Karlsson tient le micro sur une grande partie de la chanson tandis que  Lars Palmqvist nous envoie un chant clair plus à propos dans un groupe de métal. Cette conclusion remet en doute les idées qu'on a pu développer durant tout l'album, et nous laisse sur un bon avis.

Le titre de l'opus en est annonciateur, le groupe a prévu une trilogie sur la Trans-humanité, espérons que celle-ci soit plus dans la continuité du dernier morceau que du reste...Depuis 2008 et le départ de Christian Älvestam, de nombreux fans de Scar Symmetry se retrouvent partagés entre ceux qui aiment la nouvelle formule à deux chanteurs, et les autres. 2013 marque un autre gros tournant dans la vie du sextet (qui est maintenant un quintet) suédois. En effet, le guitariste et fondateur du groupe Jonas Kjellgren quitte le groupe pour se consacrer à ses deux autres projets musicaux et à son travail en studio. Après deux albums bons, mais pas excellents par rapport aux premiers opus, c'est tout naturellement que l'ex-sextet nous pond sa sixième galette en 2014, juste pour dire “qu'on peut le faire sans un deuxième guitariste”.



The Shape of Things to Come, morceau de 53 secondes qui sert d'intro nous embarque: Sur un fond (très) légèrement industriels, le chanteur clair Lars Palmqvist nous place rapidement en contexte: LA TRANSHUMANITÉ. Et dans une montée épique digne des plus grands Rhapsody Of Fire, on se retrouve très vite dans le vif du sujet: "Neohuman". Le morceau se sert de l'élan donné par la première chanson et nous lance dans l'histoire via un riff de guitare technique puis une rythmique bien martelée qui nous rappelle que Scar Symmetry sait faire et du prog, et du death. Et même si on tire un peu la grimace en entendant le refrain qui frôle le niais avec des backings vocals qui sonnent presque boys-band, on apprécie l'instrumental travaillé, les mélodies qui sonnent industrielles et nous embarquent dans un univers cyber-punk qui tiendra tout l'album. Puis vient le premier single de d'album, "Limits to Infinity", on a beau avoir un côté bien entraînant sur les couplets, le kitch des refrains détruit le peu d'estime qu'on pouvait avoir pour la chanson... Paradoxalement, c'est également un des morceaux où Roberth Karlsson (chant growl) se lâche le plus, jouant entre les aigus biens placés et un growl basique, mais efficace. Je vous laisse écouter le résultat dans la vidéo postée ci-dessous.

Le second single tiré de l'album est "Cryotic Harvest", celui-ci est certes un peu plus sombre, un son prog plus à propos, et une excellente distribution des voix entre les deux chanteurs. Mais les refrains restent très “pop metal”. Pour un single c'est « normal » me direz vous? Mais quand c'est la même chose sur tous l'album, c'est trop... Alors certes ça s'écoute, on souffre un peu sur les refrains, mais les couplets, breaks et solos sont en général bien exécutés et on prend notre mal en patience sur les doux moments emo-core qu'ils nous offrent, quitte à fredonner les refrains pendant toute la fin de la semaine.
On pense avoir vite fait le tour de l'album en se disant que toutes les chansons sont les mêmes, un subtil mélange de metal prog bien foutu quoique parfois trop masturbatoire et de pop metal kitch. Et même si on a tiré un sourire sur le morceau instrumental "Children of the Integrated Circuits", et son ambiance un peu arabisante, on se lasse assez vite de ce mélange. Mais alors que l'espoir d'un bon morceau a disparu, on fini l'album sur "Technocalyptic Cybergeddon". Ce morceau de 10 minutes nous rappelle le sublissime Holographic Universe, et on a une belle vision de l'étendue du talent de Scar Symmetry.

Le morceau démarre sur un petit air gentil qui va très vite se muer en un riff technique et violent. Roberth Karlsson tient le micro sur une grande partie de la chanson tandis que  Lars Palmqvist nous envoie un chant clair plus à propos dans un groupe de métal. Cette conclusion remet en doute les idées qu'on a pu développer durant tout l'album, et nous laisse sur un bon avis. Le titre de l'opus en est annonciateur, le groupe a prévu une trilogie sur la Trans-humanité, espérons que celle-ci soit plus dans la continuité du dernier morceau que du reste...


Onlain bookmaker bet365.com - the best bokie

Commentaires